MES MOTS DE PLUME

MES MOTS DE PLUME

Les Plus belles Plumes

0 appréciations
Hors-ligne
Mes dernières chroniques de livre et de nawak sur LPBP[table][/table]Salut à tous et à toutes, Si vous avez raté mes derniers papiers sur le site Les Plus Belles Plumes, voici de quoi vous rattraper : 

Mes dernières chroniques de livre et de nawak sur LPBP[table][/table]Salut à tous et à toutes, Si vous avez raté mes derniers papiers sur le site Les Plus Belles Plumes, voici de quoi vous rattraper : 

Dans celle-ci, je daube avec abondance sur la rentrée littéraire de septembre et surtout je vous parle de deux romans formidables parus aux éditions
Rivière Blanche et passés comme de juste totalement inaperçus : Galerie Noir, de Sébastien Gayraud, un de mes auteurs préférés, et Du délire, de Claire Von Corda, qui par ailleurs s'apprête à sortir un roman dans la collection que je dirige pour La Musardine (Insatiable, à paraître le 15 avril, j'en reparlerai).  

Dans celle-là, je vous cause de mon bistrot favori (ah, putain, que ça me manque !) et surtout du roman de gare, son histoire, ses héros, sa nécessité, son déclin - et particulièrement des éditions Gore des Alpes, dont je chronique un des titres récents, le roboratif Les Démons du Pierrier, de Jean-François Fournier, avant de poser quelques questions au directeur de collection Philippe Battaglia, sosie presque parfait de James Ellroy mais beaucoup moins méchant que lui. 

Ici
, je m'emporte avec une mauvaise foi qui n'a d'égal que ma malhonnêteté intellectuelle contre quelques cinéastes de merde (John Hillcoat ou Michael Mann), avant de vous dire tout le bien que je pense des excellents Méfiez-vous du chien qui dort, de Nancy Kress, et Walter Kurtz était à pied, d'Emmanuel Brault, respectivement parus chez Hélios et Mu. 

Par là, après une introduction où cette fois-ci je braille, tel un vieux taré qui solliloque dans le métro, à propos de liberté d'expression et de censure, je vous invite à lire, arguments à l'appui, le magistral Cela aussi sera réinventé, de Christophe Carpentier, sorti au Diable vauvert, et le vachement réussi Esther, d'Olivier Bruneau, paru au Tripode. Et enfin, dans mes deux dernières en date, je vous parle de Marseille 73, de Dominique Manotti (après avoir craché sur le dernier Carrère, certes) et j'en profite pour soumettre à la question son éditeur, Aurélien Masson, qui, après avoir dirigé pendant quinze la Série Noire, s'en est allé créer la collection EquinoX aux Arènes. 

Si mes chroniques sont gratos et en accès libre (et partageables sans coup férir), ça n'est pas le cas de l'ensemble du site, qui fonctionne par abonnement et qui, ma foi, est plutôt passionnant. Alors, si après avoir acheté tous ces bouquins il vous reste un peu de blé de côté, n'hésitez pas à vous abonner.

C'est une bonne manière de soutenir, pour peu que vous soyez sensible à leur travail, les gens qui fabriquent ce webzine et paient des gougnafiers dans mon genre pour y écrire ce qu'ils veulent, sans droit de regard ni intervention d'aucune sorte - c'est assez rare pour qu'on le souligne, foutrecul. A la prochaine !
AM

Répondre
Pseudo :
Adresse e-mail:


Se souvenir de mes infos ( pseudo et e-mail ) :
Cochez la case ci-contre :

Ces blogs de Littérature & Poésie pourraient vous intéresser